Cornelia Goethe an Katharina Fabricius 2. 11. 1768 (Pfeiffer-Belli S. 352)
Frankfurt 2. 11. 1768
Messieurs de Oldroqq viendront cet apres midi, je m’en rejouis ... on m’interrompt – c’est mon frere, que va t’il dire – Ah ma chere, plaignez moi – tout s’accumule pour me faire desesperer – ils partent ce matin ... Mon frere s’en est allé dans ce moment pour leur dire Adieu.