Cornelia Goethe an Katharina Fabricius 16. 11. 1768 (Pfeiffer-Belli S. 354)
Frankfurt 1. Hälfte Nov. 1768
J’irai dans ce moment voir mon frere, qui travaille a une nouvelle Comedie [Die Mitschuldigen]; il me lit toujours ses pieces, et vous pouvez croire que je l’entends avec un plaisir infini. Il me dessine aussi quelquefois de jolie tetes dont je vous en enverrai une.