Cornelia Goethe an Katharina Fabricius 10. 12. 1768 (Pfeiffer-Belli S. 358)
Frankfurt 10. 12. 1768
Apres deux jours de souffrances mon pauvre frere est un peu mieux, mais il est si foible qu’il ne sauroit rester debout pendant un quart d’heure; sie seulement les douleurs finissent, la force reviendra bientôt. Il faut esperer le mieux et avoir patience.