Cornelia Goethe an Katharina Fabricius 7. 12. 1768 (Pfeiffer-Belli S. 357)
Frankfurt Anf. Dez. 1768
Mon frere est tres mal, il a eu tout d’un coup une violente attaque de colique, qui le fait souffrir extremement. On emploje tout pour lui procurer quelque repos; mais en vain. Je ne saurois le voir dans un tel etat sans que mon cœur se fend. Que ne puis je le secourir.