BuG: BuG II, A 2189
Weimar vor 2. 10. 1784

Herzogin Auguste von Braunschweig an Caroline Gräfin v. Goertz 10. 1. 1785 (GRFA)

Weimar vor 2. 10. 1784

Goethe n’est pas de ce voyage [Carl Augusts nach Zweibrücken etc.] est en est au dessespoire, mais S[on] A[ltesse] S[erenissime] veux faire parle de lui, il a une ambition démesure, que Goethe voudrois supprimer mais en vain, et avec le tems vous vairai l’etendu de ses vue, tous ses amis s’oppose a ses fantaisie, et il s’en repentira indubitablement.

Caroline Gräfin v. Goertz an J. E. Graf v. Goertz 4. 1. 1785 (GRFA)

Weimar vor 2. 10. 1784

... l’histoire de Seckendorf ... Le Duc n’est pas encore de retour à Weimar, on m’a conté a présent ses vues politiques, mais je crois que sur cela, on ne peut rien dire de positif. Elles sont très patriotiques, mais je ne crois pas qu’elles feront un grand éffet. Imaginés qu’il fait le voyage tout seul, avec un valet de chambre, et deux domestiques, Goethe s’en mord les doigts. Personne ne sait quand il revient.

An Julie v. Bechtolsheim 2. 10. 1784 (WA IV 30, 32)

Weimar vor 2. 10. 1784

Die Menschen behaupten ich sey nun ganz und gar versteinert [vom Harz] zurückgekehrt ... Viktorchen [Victore Streiber] hör’ ich hat sich in Frankfurt fangen lassen.

Zitierhinweis

Online-Edition:
BuG II, BuG02_A_2189 (Ernst Grumach/Renate Grumach), in: https://goethe-biographica.de/id/BuG02_A_2189.

Entspricht Druck:
BuG II, S. 492 (Ernst Grumach/Renate Grumach).

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