BuG: BuG II, A 2181
Weimar 21. 9. 1784

An Charlotte v. Stein 21. 9. 1784 (WA IV 6, 362)

Weimar 21. 9. 1784

Jacobi m’a parlé de toi je n’ai pu lui dire que tres peu, il souhaitteroit de te connoitre parcequ’il sent bien que sans cela il n’a q’une idee incomplete de l’existence de ses amis. Je suis bien faché que nous ne pouvons pas arranger cela.

Knebel, Tagebuch 21. 9. 1784 (GSA Nachlaß Knebel)

Weimar 21. 9. 1784

Mit der Herzogin 10 Uhr in die Stadt gefahren. Bey Herder, Göthe, Jacobi. Mittags bey Wieland in Gesellschaft.

An Charlotte v. Stein 20. 9. 1784 (WA IV 6, 361)

Weimar 21. 9. 1784

La presence de Jacobi me seroit doublement chere si tu etois avec nous. Il m’est impossible de parler de toi a qui que ce soit, je sais que je dirois toujours trop peu, et je crains en meme tems de trop dire. Je voudrois que tout le monde te connut pour sentir mon bonheur que je n’ose prononcer. Vraiment c’est un crime de lese amitié que j’existe avec un homme comme Jacobi avec un ami si vrai si tendre sans lui faire voir le fond de mon ame, sans lui faire connoitre le tresor dont je me nourris. J’espere que la Herder lui parlera de toi et lui dira ce que je n’ose lui dire.

Zitierhinweis

Online-Edition:
BuG II, BuG02_A_2181 (Ernst Grumach/Renate Grumach), in: https://goethe-biographica.de/id/BuG02_A_2181.

Entspricht Druck:
BuG II, S. 488 f. (Ernst Grumach/Renate Grumach).

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